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MessageSujet: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyJeu 17 Sep - 18:42
Invité
550 de large
Malice Breinraht
100x100If I had no worries, if I had no pain,
100x100Would you stay close to me, when it starts to rain ?
100x100I want to be the happy girl !

 
Informations


Prénoms et Nom : Malice, ça sonne un peu comme Alice, car elle est dans son monde, et fais bien des bêtises. Breinraht, à tes souhaits !
 Âge : 23 ans, si si je vous assure.
 Date et lieu de naissance: Un 21 juin, à Mitras. Dans une cage dorée.
 Sexe : Femme. Ha ça, on ne peut pas dire le contraire...
 Groupe : Les Nobles. Un de ces êtres peu appréciés, malgré ses manières et sa façon de faire, elle est l'une d'eux. On peut quand même essayer de l'apprécier.
 Métier : Fille de noble et incrusteuse des QG de Brigades, ça compte ?
 Famille : Son père : Vivant. Papa gâteau, dans les vêtements et couture, met tous ses bénéfices dans la Brigade d'exploration.
Sa mère : Morte de chagrin. Fille de soldat de la brigade spéciale.
Son frère jumeau : Mort, jeune membre de la brigade d'exploration, tué à Shinganshina par le titan cuirassé. Disons donc qu'il était sur le mauvais chemin au mauvais moment et que le faciès de crêpe ne lui allait pas trop au teint...
Son frère adoptif : Vivant, orphelin recueilli, membre de la brigade d'exploration depuis peu.
Malice : Ou le truc qui voit tout en beau et remonte le moral. En gros, elle sert à rien.

Description du pouvoir ou des armes du personnage.



 
Histoire

If the sky grows darker, if I go insane, would you still care for me, when it starts to rain ?


Sa petite main cherchait ma chaleur. Ses yeux encore fermés, elle semblait me regarder. Elle avait à peine quelques cheveux sur le caillou, des marques rouges sur sa peau, et comme un sourire sur ses petites lèvres de poupin. Je l’ai rapproché, elle m’a senti, et mon cœur s’est emballé. J’ai toujours eu peur, peur d’avoir un enfant, peur de mal m’en occuper, peur de le blesser. Et pourtant… Elle me faisait confiance, elle me cherchait et couinait de faim. Son père caressa sa peau de lait, tandis que je la gardais là, entre mes mains. J’étais sûre de ses yeux verts, comme ceux de son père, sûre qu’elle courrait à toutes enjambées, sûre qu’elle se sentirait toujours en sécurité, qu’elle serait aimée… Son frère jumeau reposait dans son berceau, endormi et repu. Elle, elle bougeait ses bras vers moi, puis ses doigts… Ils effleurèrent ma joue, ils attrapèrent mon nez, elle commença à geindre. Et j’ai ri.

Elle serait heureuse, taquine et forte. Elle serait fragile, intimidée et convaincue. Et lorsque je l’appellerais par son prénom, je verrais son visage se tourner vers moi, son sourire à la dent manquante s’étirer et ses yeux étinceler de malice.

« Malice… Ma douce Malice. »

Tu pleureras quand tu tomberas, tu me quémanderas tout en grondant ton frère de chouiner. Tu rêveras de liberté et de paysages inconnus, tu seras notre trésor, à ton père, à ton frère et moi. Tu seras ma plus belle chose au monde, et je serais ta mère. J’avais peur de ces instants, de ceux où tu pleurerais sans que je ne sache quoi faire, de ceux où tu refuserais toute nourriture en grimaçant et où tu dessinerais sur les murs. J’avais peur que tu ne puisses m’aimer, et à te voir me quémander, je sais que ce ne sera jamais le cas. Mes mains te rapprochent de mon sein, tes petites lèvres cherchent la nourriture, et j’étire un sourire doux et attentionné.

« Malice, tu seras le sourire de cette maison. »

__________________

« J’ai un rêve, Délice. »
« Quel est-il, Malice ? »
« J’aimerai voler comme un oiseau, galoper par delà les murs, découvrir le monde et m’échapper de cet endroit. »
« Tu ne devrais pas parler trop fort soeurette, ou bien on va t’entendre ! »
« Je m’en fiche… J’aimerai bien faire partie de la brigade d’exploration. »
« Papa ne te laissera jamais faire. »
« Je sais, mais j’ai tellement envie. »
« Il ne veut pas te perdre, moi non plus. »
« Ce n’est qu’un rêve Délice, je ne peux pas le réaliser, je le sais. J’aimerai juste. »
« Je peux le réaliser pour toi. Ce sera notre rêve à nous. »

Malice baissa ses yeux humides sur son frère, dont la tête reposait sur ses genoux. Son ton était nonchalant, et pourtant, Malice savait qu’il disait vrai, qu’il tiendrait parole. Cela lui faisait plaisir, et en même temps souffrir. Elle avait peur de le perdre, elle n’avait jamais vu un titan de sa vie, elle en avait seulement entendu parler. Ici, entre les murs, rien ne pourrait leurs arriver. Ils avaient quatorze ans, et Délice sourit.

« Ne me regarde pas comme ça, tout se passera bien, et je ferais en sorte que tu vois le monde extérieur. »
« Promis ? »
« Croix sur le cœur ! »

Délice n’avait jamais eu l’importance de sa sœur aux yeux de leur père, il était aimé, c’était une famille heureuse. Il s’était fait une idée, malgré les dires de Malice. Tu es aussi important que moi, et je t’aime. Il souriait, il riait avec innocence, il s’était fait une raison. Ce fut sans mal que le père Breinraht accepta l’idée qu’il s’engagea, pour autant, Délice ne parla jamais de sa raison première ni qu’il souhaitait s’engager dans la brigade d’exploration. Sa sœur le soutint, le sourire aux lèvres, lui envoyant des lettres, de là où il était. Elle, elle était éduquée, pour être mariée, pour être jolie, pour être une fierté. Mais son père la couvait et acceptait tout. Je veux un cheval ! Pour quoi faire ? Galoper, comme mon frère ! Un exemple parmi tant d’autres, des caprices délicats, et de l’amour à revendre. Malgré tout, les autres filles de son âge ne l’appréciaient pas, parce qu’elle était Malice, la fille n’hésitant pas à attraper un poisson à mains nues, à sauter dans la rivière toute nue, et à ressortir d’un buisson avec une coiffure toute farfelue.

C’était Malice, un petit rayon de soleil, et Délice était sa lune. Il savait son besoin de liberté, sa sensibilité et son désir d’être acceptée. Il savait sa peur de contrer son père, de le décevoir et de ne pas être à la hauteur du monde. Mais on l’aimait, que demander de plus ? Malice ne demandait rien d’autre, et ses désirs restaient silences, exaucés par un frère qui ne cessait de la protéger. Et l’an 845 arriva avec son lot de tragédies, alors, pourquoi se plaindrait-elle ? Elle n’était qu’une malheureuse dans la masse, une tristesse commune dans les vies.

__________________

__________________

Je ne suis qu’une tristesse parmi tant d’autres, cachée dans la poche d’un manteau sali. Je ne bouge plus, je ne chante plus, et je regarde de l’ouverture les pavés qui défilent. J’entends les pleurs, les cris, la douleur et les titans au loin, tout cela à côté d’un pas répété et athlétique, il me donne envie de chanter. Pourtant, quelque chose me manque, je le sens, je ne peux élever ma voix. Et je n’ose pas, tant de morts, de souffrances et de disparitions, de peur et de désespoir. Je préfère rester dans ma petite poche, me réfugier dans mon fer et mes tonalités enchantées…

Puis le pas s’arrête, j’entends des mots, je sens quelque chose de proche, je sens une petite main me sortir de ma cachette. Je vois un visage, délicat, simple, aux yeux scintillants et humides. J’entends un cri derrière ce visage, ah… Je m’en fiche, j’aime cette peinture, ces cheveux blonds tombant sur mes pourtours et ces petits doigts qui caressent le manteau sur lequel je suis posé.

« Toutes mes condoléances. » Qu’il dit.

Je ne comprends pas, je me sens juste entier, entre ces frêles mains dont l’une d’elle effleure ma manivelle. Va-t-elle pleurer cette demoiselle, mon aimée ? Des larmes coulent sur ses joues, mais ce n’est pas elle qui gémit, non, elle reste silencieuse et me regarde avec un amour à me percer le cœur… Ne pleure pas, laisse la malice me réjouir. Surpris, je peux voir son sourire s’étirer, grand, forcé, captant ces derniers monceaux de courage en elle, pour faire bonne figure. Elle cache sa mère derrière elle, écroulée, épuisée, criant à l’infamie dans les bras de ce père démuni. Mais la malice reste debout et sourit à mon ancien porteur.

« Merci pour tout. » Qu’elle dit de sa voix fluette. « J’espère qu’il s’est bien battu, et que les autres sont en voie de guérison ! »

Ha… Elles coulent sur mon fer, tandis qu’elle se retourne, des petites larmes douloureuses qui ne se rendent qu’à moitié compte du sujet. Malice, ma délicate Malice, regarde-moi encore, fais-moi encore tourner, fais-moi chanter sous le ciel, la nuit et le jour passant, fais-moi rire encore et encore et ne grimace pas… Oui, souris, voilà, juste comme ça, tiens-moi contre ton cœur, monte les escaliers, assieds-toi sur ton lit où tu aimais me cacher. Tu pleures et souris en même temps. Pourquoi ? Tu essuies une tâche de sang sur mes couleurs pâles.

« Je suis désolée. » Gémis-tu. Non, ne pleure pas, regarde, nous sommes ensemble, à jamais, pour toujours, dansons, chantons, et recommençons ! « Je suis tellement désolée… »

Cette veste du bataillon m’enveloppe, j’ai chaud contre ton corps. Tu sanglotes, tu essaies de retrouver ta respiration, ton sourire. Je ne suis qu’une boîte à musique, finement ciselée et immobile, juste capable de chanter, mais je sais. Je sais que tu vas lui manquer, je sais que tu n’es pas fautive, et je sais qu’il te faut sourire et oublier. Si tu n’oublies pas, tu vas te laisser dépérir, comme ta mère. Je ne suis qu’une boîte à musique et je comprends pourtant qu’une part de toi est morte avec lui. Pas parce qu’il est ton jumeau, mais juste parce que tu l’as aimé, et que les êtres aimés ont toujours une part de nous avec eux. Malice, souris, Malice, fais-moi chanter, si ce n'est pour toi, fais-le pour les autres.

Tes doigts font tourner la manivelle, et tes larmes rouillent un peu plus mon fer.

__________________

« Salut ! »
« »
« Eh bien, réponds-moi, je t’ai dit bonjour ! »
« Heu, salut. »

Elle étira un grand sourire à ce garçon tout dépenaillé. Il haussa un sourcil, méfiant. Malice était comme ça, assez surprenante et bizarre au premier abord, elle souriait de toutes ses dents à son interlocuteur aux cheveux bien pâles. Lui, il finit par la suivre, c’est étrange comme pouvoir ; elle est bizarre, on la suit quand même. Mais que pouvait-il faire d’autre ? Il était affaibli, orphelin, et désormais frère à la nouvelle identité.

C’est le soucis avec Malice, son bonheur a un prix, le prix de l’ignorance. La mort de son frère apporta la mort de sa mère et la tristesse et surprotection de son père. Mais elle, Malice, elle avait promis d’être le sourire de cette maison, alors, son frère n’était pas mort. Malice le ressentait ainsi ; elle le savait décédé mais donnait ce rôle à cet orphelin, ce nouveau frère. Son géniteur ne dit rien, il accepta ce gamin mais ne le considérait pas comme son fils, il voulait juste faire plaisir à son dernier enfant restant.

Malice l’aima comme un frère, Malice se voilait la face ainsi, cela lui permettait de sourire et de faire face au monde. Elle faisait partie de ceux aidant les réfugiés après l’attaque, de ceux mettant la main à la pâte. Elle emmenait ce nouveau frère partout, elle se comportait comme si elle était avec son jumeau. Et puis, il s’engagea lui aussi, pour lui-même, pour elle un peu, il essaya de la convaincre de faire de même, vivre son rêve. Ce n’est pas chose aisée, Malice a peur, Malice ne veut pas abandonner ce père et tous ces gens. Quel mensonge…

Elle fait encore tourner la manivelle de la boîte à musique, elle quémanda à son père l’argent nécessaire pour soutenir le bataillon d’exploration. Son géniteur accepta, car cette conviction chez elle, il la partageait, et il ne voulait que son bien. Ses bénéfices allèrent donc à l'exploration, les autres nobles pouvaient bien se moquer autant que leurs enfants, rien ne comptait plus que sa fille adorée. D’une certaine manière, cela rappelle la mémoire de Délice, cela lui permet de lui rester proche. Malice a donc supplié pour faire du bénévolat, juste aider de ses petites mains, à faire le ménage, à visiter les locaux, à jouer à  la postière et à sourire à chacun. Elle est là pour soigner comme elle peut, cuisiner et réconforter. Elle est celle qui croit dur comme fer que bientôt, la vie sera possible dehors, et elle est certaine que la prochaine fois, promis juré, l'exploration marchera ! On se demande bien son utilité, son nouveau frère ne dit rien, il la surveille, il lui promet que lui, il ne mourra pas. Mais Malice a peur, comme chaque humain, Malice a peur et pense qu’elle n’y peut rien.

Et puis, les titans shifters... Nous sommes à un point culminant de l'histoire, et ce second Délice a beau la secoué, lui dire que c'était le moment d'avancer, Malice restait paralyser, Malice n'y pouvait rien. Elle restait dans sa peur d'elle-même et de faire souffrir ses pairs, sa peur de voir son nouveau frère blessé et ces titans se frayer un chemin parmi eux. Elle aimerait faire partie de cette histoire, comment ? Elle n'y peut rien, elle est juste la petite blonde simplette assise sur sa chaise, et qui doit rester assise et encourager les autres à avancer. On a envie de la frapper...

La nobliette y peut quelque chose, il suffit juste qu’elle coupe ses cheveux, et elle étire un sourire. Impossible, Délice les aime ainsi, pourquoi les couper ? Pourquoi l’attrister ? Pour vivre pour toi, Malice, être un peu plus libre.

Quelle petite idiote bien candide.

Elle n'est qu'un accident collatéral à tous ces évènements, elle n'a pas même un rôle important. Elle est juste la blondinette passant le balai, qui se cogne la tête contre un cyprès. Malice ne fait pas partie des héros, Malice est juste une noble, pas comme les autres.




Personnage

 
100x100

Pseudo :

J'fais que dans les pseudonymes désolée /paf/
 

Âge :

22 ans bientôt.
 

Le personnage de votre avatar :

Raiponce de Disney.
100x100

Un mot à propos de vous?

Bazinga !
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Comment avez-vous trouvé le forum?

Via top-site 8)

Quelque chose à dire à propos du forum ?  

Toujours aussi beau et cool, et les admins, envoient du pâté mmh lèche-botte n°1
 

Code du règlement :

Code validé par Levi
Physique
Elle a peur que tu t'en ailles, peur de tes représailles, peur pour son petit frère, peur pour son... Derrière.

Elle balance ses jambes dans l’eau du ruisseau, son corps assis sur les pavés, et sa robe plissée trop grande pour elle. Bien curieuse enfant avec ses longs cheveux blonds trainant au sol, et ses grands yeux verts. Ah, on y verrait comme une touche de malice, de celle qui disparait de la majorité des regards, de celle rêveuse des enfants qui ne se soucient pas des problèmes adultes. Malice a ce regard, si expressif, et ce sourire presque constant aux lèvres.

Ses pieds élancent quelques gouttes d’eau envers le compagnon à ses côtés, ils ne se ressemblent pas, et pourtant, ses épaules lâches prouvent sa confiance. Un frère, une sœur, et ses lèvres fines qui s’agitent, trop lentes pour son propre débit de paroles. Cela fait rire le garçon, elle en fronce les sourcils de désapprobation. Puis elle sourit, comme une adulte sourit, comme quelqu’un d’heureux sourit, comme quelqu'un qui fait tous les efforts du monde pour avancer, un sourire humain.

Elle est tellement étrange, sans artifices, sans apparats, seulement sa robe trop lâche et ses pieds nus. Ses cheveux sont trop longs, lâchés et lisses, ils brillent au soleil. Elle ne les a pas coiffé, pas comme ces autres femmes qui rient de sa simplicité. La nobliette comme on aime l’appeler, venue des oubliettes, la simplette et sa peau poupine. Ses mains fines attrapent la boite à musique, finement ciselée, elle tourne la manivelle, et danse sans se soucier. Ses yeux sont tristes, d’une adorable tristesse, de celle qui s’est fait une raison, qui a mal et l’accepte sans combattre.

Malice, ses épaules se dénudent sous ses mouvements, il remet en place le vêtement. On pourrait la voir trembler, si on l’observe bien. Mais Malice ne s’observe pas, elle est juste étrange, mignonne et enfantine. Elle ne fait pas penser à ces grandes dames à la beauté ravageuse, juste à ces jeunes filles fraîches et maladroites dans leurs sentiments, qui font tout pour changer et en ont peur en même temps. Et pourtant, on remarque bien qu’elle fait tâche dans les autres districts, parce qu’elle est bien portante malgré son corps trop frêle, parce qu’elle respire la bonne santé et l’absence de peur. On pourrait l’en détester, on l’en déteste. Et on l’apprécie pour sa simplicité.

Ses yeux d’émeraude vous regardent, taquins et respirant la vivacité. Elle pense, ses pensées fusent, ses émotions se lisent sur son visage, elle ne ment pas. Vous y lisez tout le bonheur de vous avoir trouvez. Elle lève sa main pas assez douce pour celle d’une noble, assez abîmée pour celle d’une travailleuse, et elle vous salue. Oui, c’est elle qui saute parmi la foule, qui vous tire dans un bal pour vous inviter à danser. C’est elle qui se remarque par sa stupidité et son intérêt pour tout et n’importe quoi, mais surtout pour vous. Elle court, elle vous attrape entre ses bras, elle vous récite des mots étranges. Vous ne la connaissiez que de vue, et pourtant, elle vous traite comme son plus proche ami. Malice sourit de toutes ses dents, de ses dents du bonheur, elle vous regarde de sa petite taille pourtant élancée, la bouche en cœur. Vous êtes sûr d’une chose ; si vous mourrez, il y en aura bien une pour vous pleurer.
Psychologie
Pourquoi n’abandonnes-tu pas ? L’humanité est perdue, les titans sont surpuissants, nous sommes voués à tous être dévorés par la peur puis leurs mâchoires. C’est un cauchemar dont la fin est déjà écrite d’avance, et toi, tu penses le contraire. Malice, vois les choses en face, rien ni personne ne peut changer ce destin, pas même les nouveaux titans, ils ne redonnent pas d’espoir, ils le prennent et l’anéantissent. Malice, pourquoi n’abandonnes-tu pas ?

Parce que si moi je perds espoir, il n‘y aura plus personne pour espérer, gros bêta !

Elle est idiote, cette blondinette, elle est agaçante avec ses vérités à deux francs six sous et sa volonté à toujours vouloir le dernier mot. On aimerait lui rabattre son caquet, avec son optimiste d’enfant, on aimerait la secouer, pour lui prouver que la réalité n’est pas envahie de couleurs merveilleuses et de happy end éternels. Pourtant, on n’ose pas, car on sait qu’elle est aussi butée qu’un autre, et que cette façon de voir les choses, avec beauté, avec le sourire et la conviction que le bonheur se trouve au bout du chemin, n’est pas doué à tout le monde… Elle fait sourire, Malice, avec ses idioties et ses agacements, elle sèche les larmes des plus ignobles manants avec ses propos convaincants.

Elle est là, avec sa voix fluette, ses allures de noblette, à faire la leçon aux plus pessimistes, à caresser les cheveux et à redonner le moral. Si se faire passer pour la simple d’esprit peut aider le monde, Malice le fera. C’est une bonne âme, cette petite maladroite, elle retient tout ce que disent les gens et elle veut les voir sourire encore une fois, toujours. Alors, si tu aimes le gâteau à la fraise saupoudrée de la chantilly la plus rare au monde, Malice apprendra, Malice le cherchera et qu’importe ses gourdes, ses bleus et ses coupures, elle te donnera ce gâteau.

Maintenant, tu peux sourire et reprendre ta vie en main, ne perds pas espoir !

Elle est dynamique, gauche et excessive. Elle énerve par ses attitudes et sa mentalité, son côté bavard et ses grands yeux curieux. La curiosité, bien vilain défaut qui a élu domicile en elle : Malice est capable de poser les pires questions et les plus gênantes, avec la simplicité du monde. Puis vient le rouge à ses joues, en se rendant compte de sa bêtise. On aime bien la taquiner comme ça, c’est amusant, c’est attachant. Mais Malice ne se laisse pas pousser, si elle semble bien faible et inutile, il ne faut pas la chercher. Les plus mauvais caractères feront face à une demoiselle bien solide qui ne baissera jamais les bras. Et au fond, ça a son charme, même sa façon d’argumenter des plus surprenantes et hors sujet. Elle fronce les sourcils, elle croise les bras : c’est bon, tu as arrêté ton cinéma ?! On peut discuter maintenant ?!

Ah, Malice, une enfant dans l’âme, qui s’émerveille d’un rien, et ne se soucie que peu des autres, qui dit ce qu'elle pense, qu'importe les choses. Les autres filles de nobles se moquent d’elle et de sa candeur, de cette façon qu’elle a de se mêler à la populace et de n’avoir aucun orgueil. Malice, elle se balade pieds nus dans les rues sans soucis, et s’arrête pour avoir une conversation avec un mendiant affaibli. Qu’elle est bizarre cette Malice, pleine de taquineries et de mauvais tours, pour vous agacer, pour vous faire oublier les sujets les plus graves.

Au fond, Malice la malicieuse n’est pas que légèreté, elle aime simplement le croire, tout en sachant bien que certains sujets doivent être étudiés et acceptés tels quels. Les titans ? Elle les a modifié, dans sa tête, ils sont là, présents, et malgré tout absents. C’est comme son frère, sa perte est trop douloureuse, alors, il n’est pas vraiment mort, jamais. Malice aimerait découvrir le monde, partir à l’aventure, faire partie de la brigade d’exploration, mais comprenez… Ses cheveux sont trop longs, et elle est coquette, elle ne veut pas les couper. On lève les yeux au ciel, en fin de compte, elle est bien une noble. Pourtant, les plus clairvoyants verront autre chose, ils verront l’envie inassouvie dans ses yeux, la timidité et la nostalgie.

Malice, elle a toujours été en arrière, la petite fille qui encourageait dans les tribunes, qui soulageait les plaies et qui sautait sur les gens qu'elle appréciait pour montrer son affection. Tactile la Malice, avec ses grands gestes, avec ses tirages de vêtements. Viens avec moi, je vais te montrer quelque chose d'extraordinaire ! Et on la croit, et on la suit, pour mieux regarder une pauvre fleur au bord d'une route... Oui, mais elle est violette et toute seule elle se tient contre les éléments, n'est-ce pas fascinant ?! Elle vend du rêve Malice, mais qu'est-ce qu'elle est ingénue parfois.

Ses mains sont trop grêles pour l’aventure et son dos trop frêle pour les premiers rôles. Malice se mord les lèvres, elle s’énerve, à être incapable de trouver la bravoure des explorateurs, elle qui veut vivre libre, elle qui aimerait découvrir le monde… Malice serre ses cheveux dans ses mains ; ce genre de rêve, il a tué quelqu’un. Malice est excellente pour voiler la face du monde à ses yeux, elle est cependant consciente de sa dangerosité. Mais être responsable de la tristesse des uns, de la rancœur des autres, plus jamais, ça l’empoisonne, ça l’apeure.

Elle rage et ferme fort les yeux, car la tristesse et la douleur n’ont pas de place dans son petit corps, sinon, comment faire sourire son père ? Comment faire rire son frère ? Comment soulager les étrangers ? Malice, elle est idiote et égoïste, elle est vive et vraie. C’est de nature, on n’y peut rien. Elle s’attache aux autres, c’est un cœur d’artichaut, une sensible joueuse et aguicheuse qui s’ignore. Malice est égoïste. Malice est possessive et trop timide, trop menteuse, trop sentimentale, trop réfléchie. Malice est triste, mais jamais pour elle, juste pour les autres, verser des larmes pour les passants, et on aimerait la frapper... Pense à toi, pense à toi bon sang !

Malice est vraie, une rêveuse solide, pour qui aucun challenge ne semble impossible, et qu’importe que vous la repoussiez, elle reviendra toujours à la charge pour vous réconforter. C’est agaçant n’est-ce pas ? C’est charmant.

Tu aimerais attraper le destin à tour de bras, l’emmener valser avec toi. Tu aimerais galoper dans les prairies dans ce monde inconnu et t’émerveiller de ses secrets. Tu aimerais bien des choses, ma petite malicieuse, mais tu restes là, sur ton siège, à lancer tes jambes en l’air, et à compter les nuages, en espérant cette fois-ci, que le bataillon d’exploration reviendra d’entre les âges. Alors, Malice, souris pour les autres. Et ne perds pas espoir. C’est ton rôle, ta petite gloire.

© Narja - Never-Utopia
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyJeu 17 Sep - 21:44
Invité
BAZINGA ! :aa:

/camion/
Hmhm, bienvenue ! :aa:
D'abord : j'ai crié intérieurement en mode hystérique quand j'ai vu ta fiche parce que Raiponce elle est dans mon top 3 des plus pipous-mignons. *wwwww*
En plus un personnage dans les nobles. *-*
Je t'aime. *-*
FAISONS DES BÉBÉS. :aa:
/deuxièmecamion/

Juste un petit truc, je crois que t'as oublié une partie du code ou qu'un admin a merdé ou quoi, fin il te manque le code en dessous de "quelque chose à dire à propos du forum ?" alors qu'il est censé être avec la fiche. :v: (paranormal activity maggle)

Bref j'espère ne pas t'avoir fait trop peur ! Bonne chance pour ta fiche & j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! :3
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyJeu 17 Sep - 21:45
Levi Ackerman
C'est le code qui merde en fait :v: J'ai validé son code, il est bon ! (ça sonne bizarre dit comme ça :>>: )

Bienvenue très chère :aa: Hâte de lire ta fiche!
Levi Ackerman
Féminin Messages : 419
Age : 25
Localisation : Au QG du Bataillon.
Métier : Caporal-chef et chef de l’escouade d’opération spéciale.
Humeur : Stoïque.

Identité du personnage.
Points de vie:
Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Left_bar_bleue100/100Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Empty_bar_bleue  (100/100)
Thylars: 6110
Informations:
Caporal-chef
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyJeu 17 Sep - 21:53
Arunja Khan
Bienvenue sur le forum !
Arunja Khan
Féminin Messages : 142
Age : 29
Localisation : Dans une taverne à se saouler comme un porc
Métier : Mendiant
Humeur : A soif !

Identité du personnage.
Points de vie:
Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Left_bar_bleue100/100Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Empty_bar_bleue  (100/100)
Thylars: 6 965
Informations:
Mercenaire alcoolique
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyJeu 17 Sep - 23:33
Invité
Emilio => Oh oui viens faisons des bébés trop swaggy ♥️ *se prend le camion avec lui* Moi aussi j'adore Raiponce, surtout que je l'ai revu y a pas longtemps, DONC BON. Merci pour l'accueil encore et désolée pour le code mais comme l'a dit Missié Levi on le voit je comprends pas pourquoi mais je l'ai mis éè

Levi => Tu l'aimes ce code, il est bon hein ? Ajoutons un brin de malice ! [terminée] 2593715808 Bref, merci pour l'accueil, et j'espère ça te plaira ! ♥️

Arunja => *brosse les dents du titan sur l'avatar* /paf/ Merci Mercenaire alcoolique, au plaisir de partager une bouteille !

J'ai fi... Non j'ai juste posté le caractère Ajoutons un brin de malice ! [terminée] 2500433656 Mais il m'a pris du temps ! Le reste arrivera d'ici peu !
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyVen 18 Sep - 16:58
Invité
Bienvenue \o/

J'aime déjà le début de ta fiche, 'fin manque que l'histoire me semble, mais j'aime, voilà.

Breffons, keur keur sur toi ♥
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyVen 18 Sep - 18:24
Invité
CC KOUPINE 2 CHVE LON

<3 <3 <3 <3 <3

ce début de fiche <3 <3 <3 <3
jtm <3 <3 <3 <3
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptySam 19 Sep - 16:56
Invité
Merci beaucoup pour cet accueil mesdemoiselles, ça fait super plaisir ♥

Et je pense que j'ai fini ma fiche même si je l'ai bâclé à la fin, car trop à la ramasse et ça se serait éternisé @@ Pardon T^T Et bonne lecture !
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Ajoutons un brin de malice ! [terminée] Ajoutons un brin de malice ! [terminée] EmptyDim 20 Sep - 22:17
Levi Ackerman



Félicitations, Malice !
Tu as complété ta fiche personnage avec brio! Te voici prête à aller jouer dans l'univers de l'Attaque des Titans. Tu as été ajouté au groupe des Nobles. Tu peux également chercher des relations en créant ta fiche de liens ici, demander un logement dans cette section et tenir à jour ton carnet de bord en créant un sujet ici!

Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter tes administrateurs et modérateurs chéris que sont Emilio, Levi, et Reiner.

© Narja - Never-Utopia
Levi Ackerman
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Humeur : Stoïque.

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